Hier, je me suis rendu pour la première fois au Blind test du geek, pas d'explications ultra-longues, tout est dans le titre. Organisé tous les premiers et derniers mercredi du mois au Dernier bar avant la fin du monde, c'est un événement à la bonne franquette, où je me suis senti complètement abrutie parfois, à trouver la réponse une seconde après les grands habitués, mais avec mon esprit compétitif et mon amour de la culture geek, j'ai passé un excellent moment, et j'y retournerai ! Bref, j'avais envie de porter un petit T-shirt geek et de le féminiser un peu ! J'ai donc opté pour ce T-shirt Monstres & Cie trouvé à Uniqlo au rayon homme, et que je porte habituellement en pyjama. Mais avec un jean slim taille haute, des boots à talons et des touches bien colorées, ça passe plutôt bien, non ?
1 Commentaire
Aujourd'hui, un petit article rapide pour vous montrer tout simplement mon look spécial anniversaire. Eh oui, j'ai soufflé mes 25 bougies en février. Normalement, je me dirais qu'il ne s'agit que d'un chiffre, mais avoir 25 ans, j'avoue que ça m'a un peu perturbée. Tout ce que je me dis, c'est que je suis arrivée dans la seconde partie de la vingtaine, que le temps passe, que je vieillis... des pensées angoissantes en somme. Mais ça ne m'empêche pas de fêter cet anniversaire avec style, grâce à cette robe Maje collection Automne Hiver 2015, toujours soldée. Je l'ai associée à des collants résille/plumetis Gambettes Box, ainsi que des derbies à paillettes Mademoiselle R et de jolies franginettes de Bobbies pour la touche festive supplémentaire !
Jour après jour, mon voyage pour le Japon approche, et je dois l'avouer, je suis hyper impatiente ! Bien sûr, la phase de préparation n'aide pas, on commande les billets d'avion, on réserve les habitations, on se renseigne sur les bons plans... et bien sûr, on imagine déjà ses tenues ! (Enfin moi en tout cas j'y pense déjà, c'est mon côté control freak de l'organisation mêlé à mon goût pour la mode.) Et il est hors de question que je n'emmène pas ce petit sweat RAD x Enjoyphoenix tout doux à l'imprimé trop mimi. Ici, je l'ai associé à deux de mes cadeaux d'anniversaire : un short à carreaux façon années 1960, et des sandales à pompon toutes douces et kawaii (le tout Asos). Je ne pense pas porter mon sweat comme ça une fois au Japon (je me vois mal arpenter Tokyo avec des talons de 12 cm), mais on peut toujours rêver ! La petite touche japonaise en plus ! Le petit sac Maneki Neko de Skinnydip London que j'avais déjà présenté ici. Pas sûre non plus de l'amener au Japon celui-ci, c'est qu'il est mignon, mais il ne peut pas contenir grand-chose ! Je sens que je vais encore me tirer les cheveux entre fonctionnalité et esthétique avant de partir !
Je l'avoue, je me lasse un peu de l'hiver. J'en ai marre de cacher mes robes sous des manteaux, j'ai envie de mettre des sandales... Heureusement, je ne suis pas frileuse ! Alors aujourd'hui, au placard le manteau en laine, et on sort le perfecto (cadeau du chéri au passage). C'est qu'elle est jolie ma nouvelle robe Asos, et que j'ai envie qu'on l'a voit ! Et parce que j'ai décidé de ne pas avoir froid aux yeux, tant pis pour le « fashion faux pas », je mets des sandales avec mes collants ! Et pour finir, en attendant le printemps, les fleurs, elles sont sur mes jambes avec ces collants brodés Jonathan Aston !
Vraiment désolée si je vous ai mis ce classique des années 2000 dans la tête, mais je trouvais que ça correspondait plutôt bien à cette magnifique robe Maje qui met clairement les hanches à l'honneur. À une époque, je n'aurais jamais pensé mettre plus de 50 euros dans une robe. Entre-temps, j'ai mûri et j'ai appris que la souvent, il vaut mieux privilégier la qualité à la quantité (oui, j'enfonce un peu des portes ouvertes). Et que souvent, une pièce bien forte suffit à faire tout un look. Avec cette robe en maille basket ultra-patineuse, pas grand-chose à faire, à part une paire de chaussures façon godillots pour casser un peu le côté sophistiqué de la robe, et une couronne Asos dorée qui va plutôt bien avec la couleur automnale de la robe (enfin, je trouve en tout cas). En plus d'aller parfaitement à ma morphologie (une belle poire), cette robe a un avantage non-négligeable... des poches ! Les robes à poches sont rares quand on y pense mais c'est tellement pratique et agréable ! Ah les fêtes religieuses. Quand on est athée comme moi, on ne les célèbre absolument pas, par contre, la tradition culinaire reste. Résultat, comme de nombreux Français, j'ignore la signification de la Chandeleur, de Pâques ou de l'Épiphanie, mais je ne me prive pas de déguster des crêpes, du chocolat ou une bonne galette, je considère qu'au final cela fait plus partie de la tradition familiale que religieuse. Cette année, j'ai décidé de tester une recette jamais goûtée auparavant, celle des crêpes Suzette. Et pour bien commencer, j'ai essayé la recette du grand chef Christophe Felder issue de son ouvrage Pièce Unique_. Ingrédients pour 6 personnes Pour la pâte à crêpes :
On commence par la pâte à crêpes parce qu'il faut la faire reposer idéalement une nuit, mais deux heures m'ont suffit personnellement. On verse donc la farine dans un saladier, on ajoute les œufs un à un, puis le reste des ingrédients. On termine par le lait en remuant sans cesse pour éviter les grumeaux. Si grumeaux il y a, un petit coup de mixer et c'est réglé ! On laisse ensuite reposer. Pour la sauce : on cuit le jus d'orange, le sucre et le miel jusqu'à obtenir une consistance sirupeuse. Après un refroidissement à 45 °C (oui il vaut mieux avoir un thermomètre, mais sinon le pifomètre devrait suffire), on ajoute le beurre pommade jusqu'à le faire fondre (réchauffer si nécessaire). Pour les oranges confites : on coupe l'orange en fines tranches d'environ 2 mm d'épaisseur. Dans une casserole, on fait bouillir sur feu moyen le sucre et l'eau. On y plonge ensuite les tranches d'orange et on les laisse cuir pendant une dizaine de minutes (la peau doit devenir presque translucide). On les laisse refroidir. Finition : on fait cuire les crêpes dans une poêle prévue à cet effet. Si on en a envie, on les emporte-pièce (avec un cercle de 18 cm) pour que les bords soient plus nets et plus jolis. On les plie ensuite en quatre et on insère une tranche d'orange confite. Au dernier moment, on verse la sauce très chaude et on savoure ! Une recette qui fait de l'effet sans pour autant trop en demander puisque la pâte à crêpes peut se faire la veille et les oranges confites deux à trois jours auparavant. Et franchement, ça change de la crêpe au Nutella ou caramel au beurre salé !
Les restaurants étoilés, on se dit qu'ils sont inaccessibles. Alors on préfère des restos plus simples, des bistrots, des brasseries. Un jour, mon chéri et moi-même mangions dans une brasserie. Entrée + plat + dessert, plus un apéritif... Au final l'addition était montée à 40 € par personne. Puis on a découvert qu'on pouvait manger à des restaurants récompensés d'une étoile Michelin pour 50 à 55 €. Bizarrement, on ne s'était jamais intéressés au prix, se disant qu'on ne pourrait jamais. Alors qu'au final, manger moins souvent dans des bistrots qui peuvent décevoir et se faire un étoilé 2 fois par an, c'est pas si déraisonnable. Nous sommes tombés amoureux d'un restaurant en particulier, celui du chef Kei Kobayashi. Nous avions d'abord découvert son magnifique livre en librairie, et curieux, nous avions réservé pour fêter notre anniversaire de rencontre. Depuis nous y sommes retournés deux fois, la dernière visite en date remontant à ce weekend. Voici donc ce que l'on peut y déguster (bien sûr, la carte change très souvent). Le chef est japonais mais sait mêler avec brio influences françaises et japonaises, ce qui donne une cuisine assez unique et originale. On commence par les amuse-bouches, avec une gougère au parmesan incroyablement fondante (car fourrée de crème au parmesan), une petite tartelette de sardine et yaourt fumé et un maki de légumes. Déjà, on voyage tant au niveau du goût que du visuel. Pour les entrées, deux possibilités. Le serveur nous propose l'entrée du menu : une huître pochée au raifort avec une chips de laitue de mer. Pour monsieur, qui n'est vraiment pas fruits de mer, ce sera terrine de foie gras, yaourt fumé et granny smith en gelée et copeaux. S'ensuit une seconde entrée. À chaque visite, nous y avons eu droit, mais ce n'est pas pour me déplaire, car il s'agit de la grande spécialité du chef, et c'est délicieux. Une salade de légumes de saison croquants et de saumon fumé maison avec mayonnaise provençale et crumble d'olive. Vraiment, une tuerie. La meilleure salade du monde. Rien que ça. Ensuite, un « pré-plat » avec un gnocchi de pomme de terre avec jambon ibérique et béchamel au parmesan. Ultra-réconfortant mais un peu détonnant par rapport aux autres plats bien plus légers. La pièce maîtresse du menu, c'est le suprême de pintade (il y avait choix entre viande et poisson). Il est accompagné d'un salsifis frit (très surprenant), de tétragone et d'une purée de panais moutardée. Ce qui m'impressionne dans ce genre de restaurants, c'est la précision et la perfection des cuisson de viande. Je n'ai jamais mangé une viande aussi fondante. Côté sucré, un dessert tout aussi beau que bon. Un vacherin aux agrumes avec boule de meringue, sorbet au basilic et kumquats givrés. Ce magnifique dessert est accompagné de deux mignardises, un raisin blanc en gelée et un petit nougat. Pour ce qui est du reste : le service est vraiment très bon, très efficace sans être trop guindé (ça peut faire un peu peur dans ce genre de restaurants), et le décor est on ne peut plus sobre, puisque tout ou presque y est blanc ou gris. Le plat est mis sur le devant de la scène.
Je conseillerais donc ce restaurant à toutes les personnes recherchant un endroit où se régaler pour fêter une grande occasion (ou juste pour se faire plaisir). On s'en tire pour 56 € par personne en prenant le menu déjeuner et une bouteille d'eau plate (payante). Le tout est de ne pas trop craquer pour un apéritif, un vin, un café ou un thé. Et enfin, pour répondre à la remarque récurrente : non, on ne meurt pas de faim en fin de repas. Car oui, les quantités sont petites, mais elles sont parfaitement dosées par rapport au nombre de services. Et on ressort parfaitement rassasié (personnellement, je n'aime pas sortir de table avec l'impression d'être sur le point d'exploser, même si ça m'arrive très souvent, gourmande que je suis). Pendant les soldes, il y a deux techniques d'approche : soit on va dans toutes les boutiques qui nous intéressent et on farfouille partout, soit on a sélectionné nos articles préférés et on attend sagement (ou pas) de voir s'ils vont être soldés. Je suis plutôt de la deuxième école, moi qui aime de moins en moins faire les boutiques, affronter la foule en folie, fouiller dans les moindres recoins. Je préfère me cacher derrière mon écran et sélectionner avec soin mes articles fétiches. Sauf que cette année, j'ai fait quelques folies. J'ai largement dépassé mon budget, et cette petite jupette Paul & Joe Sister y est pour quelque-chose. Mais comment ne pas craquer : un rose poudré trop joli, des petites poches trop mignonnes, une matière ultra-douce... Non, vraiment, j'étais obligée ! Du coup, j'ai joué la carte de la douceur avec ce look : un chemisier Asos à col festonné (je porte une version sans manches qui est épuisée, mais la version chemise est ici), un trench Mademoiselle R, des collants Gambettes Box, des boots H&M Qualité Premium et un petit sac théière Axes Femme.
Dernièrement, je suis allée manger au Bistrot chez Rémy pour l'anniversaire d'une amie. Après avoir testé presque tous les restaurants de service à table de Disneyland Paris (il me manque encore l'Auberge de Cendrillon), j'étais assez curieuse de comparer celui-ci, dont j'avais entendu du bien, du moins à son ouverture. Le verdict est un peu mitigé. Voici un petit compte-rendu de mon expérience dans ce restaurant. L'accueil et le serviceJ'avais réservé pour 13h30 un jeudi, début janvier. Donc en pleine semaine et en saison creuse. Pourtant, quand nous sommes arrivées, la salle d'attente était pleine à craquer de familles (ultra-nombreuses en plus). Et nous avons donc dû attendre 15 minutes debout avant d'être installées. Autant dire que ça commençait assez mal. Qu'est-ce que ça doit être un samedi pendant les vacances scolaires ? Par la suite, le service était courtois et assez efficace (même si nous avons dû attendre 10 minutes de plus pour que l'on prenne notre commande). Disons donc qu'il ne faut pas trop être pressé quand on y va. Le décorLe décor est très sympathique. La salle d'attente est ponctuée de diplômes et de trophées remportés par Rémy ou le chef Gusteau. Et l'intérieur est assez agréable. Les chaises en forme de bouchons, les lampes en forme de guirlande, les fleurs géantes... On s'y croirait. Le seul petit bémol, c'est la taille du restaurant, qui est très grand, et j'ai l'impression que les enfants se sentent encouragés à gambader un peu partout dedans, ce qui n'est pas forcément très agréable. Le repasDeux menus sont proposés, chacun avec l'option Entrée+plat ou Entrée+plat+dessert. Pour cette dernière, le menu Émile est à 39,99 € et le menu Gusteau à 59,99 € (soit pas loin du menu de l'Auberge de Cendrillon, où l'on peut rencontrer des personnages). Déjà, ce ne sont pas vraiment des prix de bistrot, ce qui n'est pas étonnant chez Disney. J'ai choisi le menu Émile avec Entrée+plat+dessert. Mauvais point : il n'y a qu'une seule entrée, une salade avec quelques tomates cerises, de la betterave râpée, du fromage et une vinaigrette à l'huile de sésame. Et franchement, c'était très décevant. Ça m'a rappelé une des salades qu'on mange dans les fast-foods du parc, mais dans une vaisselle plus élégante. Le fromage était un genre de gouda et de mimolette en fins bâtonnets, donc rien de très fameux. Heureusement, le plat était plus agréable. J'ai choisi la pièce de bœuf avec des frites et une ratatouille. La sauce du chef (avec une base de foie me semble-t-il) était délicieuse. Les frites étaient vraiment bonnes, on sent que ce ne sont pas les mêmes que celles des fast-foods, elles sont bien plus savoureuses, tout comme la ratatouille, qui était très bonne. La pièce de viande était un peu dure à couper, mais ça passait. Pour ce qui est des desserts, absolument rien ne nous tentait. Tartelette aux pommes, gâteau au chocolat, salade de fruits... rien qui ne semble préparé à la commande. Et pour presque 40 €, on peut s'attendre à manger autre chose que du surgelé. On a donc opté par défaut pour le fromage : un Brie de Meaux avec une compotée de pêche de vigne. Sauf que ce n'était pas le cas, on aurait plutôt dit une gelée de fruits rouges. Ils devaient être à cours de pêche, mais on aurait aimé être prévenues. Le pain n'était pas trop mauvais et était garni de fruits secs. Quant au brie, il était excellent, rien à redire à ce sujet ! Le verdictClairement, je n'y retournerais pas. Même si plusieurs éléments du repas étaient très bons, ce menu ne vaut clairement pas 40 € (pour 10 € de plus je peux me faire un étoilé...). Pour près de 30 €, le Walt's ou le Blue Lagoon valent clairement plus le coup. Je ne sais même pas si je pourrais conseiller à quelqu'un d'y aller une fois juste pour tester, je ne suis pas sûre que ça vaille le coup.
Un petit look rapide avec une lumière pas terrible (mais quand il fait nuit à 15h, que peut-on faire d'autre ?). Une tenue tout ce qu'il y a de plus simple, qui rend un hommage discret à l'un de mes univers préférés, celui d'Alice au Pays des Merveilles. En toute simplicité, une robe en dentelle blanche alliée à des collants bleus effet maille et à des boots compensées et fausse fourrure parce qu'on est en hiver quand même. Et pour la touche Alice, un magnifique collier Les Nérédies tout en délicatesse et une petite pochette adorable qui vient de Tokyo Disneyland. Et pour sortir (oui, ça m'arrive), le joli trench déniché chez Axes Femme, tout en détails (fourrure, voile, dentelle, ceinture...).
|
AuteurTraductrice indépendante spécialisée dans le culinaire, la mode et la beauté. Et tout autant passionnée par ces sujets. Un penchant pour la mode pastel, naïve, enfantine, fun, décalée. Catégories
Tout
Archives
Juillet 2016
|